J’ai lieu de craindre que les Français qui n’ont pas assisté à la première célébration des Jeux Olympiques restaurés n’aient reçu, de l’éclat de cette fête sans précédent, qu’une impression fort inférieure à la réalité. La presse quotidienne, prise au dépourvu, a témoigné en effet, dans la circonstance, d’un désarroi extrême.