De toutes les branches de l’acrobatie, la jonglerie est celle qui demande le plus de dispositions naturelles, du moins le plus de science et de travail. Nulle part, les progrès ne sont plus lents, nulle part l’effort opiniâtre n’est plus mal récompensé… Longtemps le jonglage n’a été qu’une spécialisation tardive d’acrobates soucieux de poursuivre une carrière menacée par l’usure et le vieillissement des moyens physiques. – Georges Strehly