Aiyanar, dieu protecteur des villages tamouls

29,90

Résumé

Jean-Louis Cardin, après une première « révélation » en 2005 face à des chevaux peints, s’est empressé de parcourir les temples et les villages du sud de l’Inde, à la recherche de ces « dieux populaires » périssables, à les collecter en images et à en rencontrer les auteurs.

Livre bilingue anglais
Jean Louis Cardin, following the discovery in 2005 of a miraculous herd of painted horses, has crisscrossed South India, exploring temples and villages to seek out their perishable « popular gods », document their images and meet their makers.

Livre écrit par

CARDIN, Jean-Louis

Directeur de publication

POUJOL, Isabelle

Régions du monde

Inde

Détails

ISBN : 978-2-35074-730-9Date de parution : 08/2023Format : Beau LivreFaçonnage : Couverture cartonnée reliéePoids : 0.950kgDimensions : 21x27cmPages : 160Livre illustré

Extrait

« Si les religions n’ont jamais apporté de réponses à mes angoisses existentielles, l’art religieux en revanche, cette grande œuvre des hommes, dans leur recherche inlassable de perfection et d’expression du sublime, m’a permis d’appréhender le sens de notre destinée. Certains, par leur grande sensibilité, ont pu mieux que d’autres le transcrire par l’écriture, la musique, la peinture ou la sculpture. C’est le cas des œuvres de terre cuite des artisans d’Aiyaṉār, fragilisées par le temps et vouées à disparaître. Leur apparente naïveté me touche particulièrement. Observant les divers stades de leur conception
à leur réalisation, j’ai été sensible à l’intelligence et à l’imagination merveilleuse de ces potiers, et admiratif de leur habileté. »

« While religious belief has never provided answers to my existential anguish, religious art, that great human enterprise, relentless in its search for perfection and expression of the sublime, has allowed me to glimpse the meaning of our human journey. Certain artists, by virtue of their great sensibility, have been able to transcribe into matter, writing or music.
It is obvious with the works of Aiyaṉār’s craftsmen, made so fragile by the passage of time. I find their apparent naïveté particularly touching. Observing the creation of these pieces from their conception to final realization, I have become particularly aware of these potters’ marvelous intelligence and imagination and awe-struck by their skill. »

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